Décloisonner la Ville et l'Hôpital grâce au Numérique en Santé

Le 4 décembre, des professionnels de santé du Médipôle Hôpital Mutualiste, de la CPAM du Rhône, du GCS Sara, de l’Agence régionale de santé (ARS) Auvergne-Rhône-Alpes, et de l’association FRANCE REIN ont croisé les points de vue de patients, de professionnels de santé et d’acteurs du numérique autour d’un enjeu majeur : fluidifier les parcours et renforcer la continuité des soins entre l’hôpital et la médecine de ville.

 

💡 Les points clés mis en lumière :
– L’importance d’informer le patient à plusieurs reprises sur sa maladie mais aussi sur ses droits en santé, de tenir compte de ses besoins et de l’accompagner dans la prise en main de son espace santé,
– Le potentiel concret du dossier médical partagé, de MonSisra, de la téléexpertise et de Mon espace santé pour améliorer le suivi post-hospitalisation.
– La nécessité d’un accompagnement au changement dans le Numérique en Santé, qui peut se faire via divers canaux, en visio (webinaires ARS, GCS Sara) mais aussi en présentiel (accompagnement GCS Sara et CPAM), et qui sera plus efficace avec des exercices pratiques.

 

Le rendez-vous a été pris la semaine suivante pour la tenue d’un stand d’information patients et d’un atelier d’accompagnement à la consultation du dossier médical partagé destiné aux professionnels de santé.

Information patients et accompagnement des professionnels de santé au numérique en santé

Le 11 décembre, le Médipôle de Villeurbanne a proposé un nouveau temps fort sur le Numérique en Santé, destiné aux patients et à leurs familles : un stand d’information patients sur leur carnet de santé numérique Mon espace santé. Plus de 120 patients ont pu être sensibilisés par des professionnels de l’ARS AURA, de la CPAM 69 et de la Mutualité Française à cet espace de confiance et de stockage de leurs données de santé.

 

 

Le même jour, un atelier a été organisé en soirée à destination des professionnels de santé qui souhaitaient en savoir plus sur la consultation du dossier médical partagé grâce au GCS Sara. Une dizaine de personnes y ont participé.